Réflexion sur l’inflation sémantique de la notion de trauma et les réponses théoriques du DMM
Résumé:
On parle beaucoup de trauma. Peut-être trop.
À tel point que le mot semble avoir perdu sa force, sa fonction, sa précision.
Ce glissement n’est pas sans conséquences : dans nos pratiques, dans nos diagnostics, dans notre rapport même à la souffrance humaine.
- Comment distinguer une détresse intense d’un effondrement adaptatif ?
- Que faire quand le mot “trauma” devient si large qu’il n’explique plus rien ?
- Et s’il était temps de remettre à plat nos cadres de pensée ?
Dans cet article, je propose une relecture critique de la notion de trauma à partir du modèle dynamique-maturationnel de l’attachement (DMM) de Patricia Crittenden.
Ce modèle offre une perspective précieuse pour comprendre ce qui a été appris — et comment le cerveau, sous stress, tente de survivre coûte que coûte, et finalement est ce que l’on a vraiment besoin du mot “trauma”.
Pour les professionnels en quête d’une clinique plus rigoureuse, plus nuancée, plus respectueuse des stratégies adaptatives.
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Bref plan de l’article :
- L’inflation sémantique du mot trauma
- Ce que propose le DMM et la pensée de Crittenden
- Avons-nous encore besoin du mot » trauma » ?
- Un tableau du continuum des réponse adaptative face au danger selon Crittenden
- Repenser la résilience
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