Introduction

il y a quelques semaines, j’ai publié un article qui présentait le clash méconnu de la théorie de l’attachement (lire l’article). Cet article a reçu une certaine attention et je me suis dit qu’il pourrait être intéressant de creuser un peu plus et de montrer, au moins brièvement, ce qui est similaire entre les deux modèles, le Modèle ABC+D de Mary Main et le modèle DMM de Patricia Crittenden et ce qui les différencie clairement.

En effet, le modèle ABC+D et le DMM ont bien un cousinage, notamment parce que les deux se réclament de la théorie de l’attachement. Mais, bien entendu, ils ont aussi des différences suffisamment significatives pour justifier l’émergence d’une seconde branche théorique.

Car, c’est la compréhension de ces différences qui va permettre de situer un modèle par rapport à l’autre et, pour le professionnel, de se positionner théoriquement et cliniquement pour l’intégration de la théorie de l’attachement dans les pratiques cliniques.

Enfin, j’aborderai pourquoi moi, en particulier, j’ai choisi d’appuyer mon travail clinique et de recherche sur le Modèle DMM qui est pourtant bien moins facile d’accès et plus complexe à acquérir.

Rappel historique de l’émergence des deux modèles.

Pour plus de détails, je vous invite à lire (ou relire l’article La théorie de l’attachement : le clash théorique dont personne ne vous parle) dans lequel j’explique l’origine des deux modèles.

Mary Main et Patricia Crittenden ont toutes les deux eu comme directrice de thèse Mary Ainsworth, mais le contexte dans lequel elles ont développé leur pensée (Université de Berkeley d’un côté et université de Virginie de l’autre) et leur background respectif (recherche d’un côté et clinique de l’autre) à contribuer à une interprétation de la pensée de Bowlby et d’Ainsworth de façon différente, ou plutôt à y trouver des points d’ancrage un peu différent. Elles ont donc l’une comme l’autre développé une extension de la théorie de l’attachement, mais avec des angles différents. Ces ancrages différents dans le travail des fondateurs peut, au premier abord, ne pas sembler fondamentale, mais, en réalité, ont conduit à des développements théoriques et maintenant empiriques qui semblent éloigner de plus en plus les deux modèles.

On pourrait dire, pour simplifier, que Mary Main a davantage développé la théorie de l’attachement vers la compréhension des processus universel de l’attachement et en direction des populations non cliniques, alors que Patricia Crittenden, confronté cliniquement à des populations qui se développent et ont survécu confrontées à l’adversité chronique et en l’absence de base de sécurité, a développé une théorie que l’on pourrait qualifier de clinique/ psychopathologique de l’attachement.

Les similitudes : deux théories cousines

Similitudes 1 : Les mêmes fondations

Le Modèle ABC+D (Mary Main) et le modèle DMM (Patricia Cirttenden) s’appuie tous les deux sur le travail de Mary Ainsworth et utilisent donc la classification originelle ABC.

Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que l’on utilise dans l’un comme dans l’autre les lettres ABC pour différencier les patterns d’attachement chez le bébé, ce qui est issu de travail de Mary Ainsworth.

En effet, à l’époque, en l’absence d’information sur l’évolution des sujets en fonction de leur pattern d’attachement, il a été décidé (recommandation de Bowlby- communication personnelle de Patricia Crittenden) de rester sur un code lettré pour identifier les patterns plutôt que leur attribuer des étiquettes cliniques (évitant, sécure, ambivalent-résistant) initialement attribué.

Ce choix était un acte de prudence scientifique et sémantique au tout début du développement empirique de la théorique.

Il est intéressant pourtant de noter que ce sont bien les étiquettes Évitant, sécure, ambivalent-résistant (et les connotations qu’elles portent) qui ont fait l’objet d’une diffusion auprès du grand public pour le meilleur et pour le pire.

Patricia Crittenden a fait le choix quant à elle de revenir expressément à l’utilisation des lettres ABC pour différencier les différentes stratégies d’attachement. L’objectif est de se détacher des stigmas associés aux différents fonctionnements individuels en termes d’attachement, et tenter d’éviter le piège de l’attachement comme trait de personnalité ou de l’attachement comme diagnostic.

Similitude 2 : l’importance de la sensibilité maternelle

Patricia Crittenden comme Mary Main postule que c’est la sensibilité maternelle qui influence et organise le développement de l’attachement du bébé.

Mais, Patricia Crittenden a développé, dans le cadre de sa thèse, le CARE-index, outil d’évaluation de la synchronie dyadique, de la sensibilité maternelle et des patterns interactionnels précurseurs des stratégies d’attachement. Ainsi, selon moi, Patricia Crittenden a une approche beaucoup plus empirique du développement de l’attachement au cours des premières années : approche cliniquement enrichie de l’observation des interactions précoces avec le CARE-Index.

D’ailleurs, je trouve que le CARE-Index, même si l’on ne veut pas devenir un expert de l’évaluation des interactions précoces et même si on ne travaille pas en périnatalité, devraient être une formation de base pour tous les attachementistes, tant l’outil permet de comprendre en profondeur ce qui se construit au cours de la première année de développement au sein de la relation figure d’attachement / bébé et qui est en lien avec ce que l’on observera en termes d’attachement plus tard dans le développement.

Similitude 3 : Stabilité développementale de la sécurité de l’attachement

Mary Main et Patricia Crittenden chacune dans leurs modèles, démontre la plus grande continuité de classification d’attachement chez les sujets dits sécures.

Similitude 4 : La Situation étrange comme méthode fondamentale

Les deux modèles s’appuient sur le Gold standart méthodologique développé par Mary Ainsworth de la situation étrange pour évaluer et classifier les comportements d’attachement observés chez les bébés de 11 et 18 mois. En ce sens, les deux modèles ont un ancrage méthodologique et observationnel dans les travaux d’Ainsworth.

Similitude 5 : 3 patterns d’attachement à la base

Les deux modèles mettent en évidence, comme Mary Ainsworth, l’existence de trois patterns d’attachement chez le bébé observé à la situation étrange : le pattern de sécurité. B), les patterns d’insécurité (A & C). Les deux théories incorporent aussi dans le modèle de Mary Ainsworth une extension de la classification de Mary Ainsworth pour expliquer les comportements anormaux observés chez certains bébés.

Similitudes 6 : Perspectives développementales

Les deux modèles conceptualisent les processus développementaux pour expliquer comment les différents patterns d’attachement du bébé peuvent avoir une influence sur le développement socioémotionnel et le risque de psychopathologie tout au long de la vie.

Similitude 7 : Les liens entre attachement chez le bébé et attachement chez l’adulte

Enfin, les deux modèles ont élargi la théorie de l’attachement initiale en conceptualisant le développement de l’attachement tout au long de la vie et en faisant des liens entre ce que l’on observe chez le bébé les premières années et ce que ‘l’on observe chez l’adulte en termes de représentation d’attachement.

Les différences entre les deux modèles

Si les similitudes semblent fondamentales au point que l’on pourrait se poser la question de l’utilité d’un second modèle théorique de l’attachement et de l’adaptation, c’est parce qu’en vérité, c’est bien plus ce qui sépare les deux modèles qui est essentiel et nécessite d’être particulièrement bien compris pour percevoir la pertinence de la position en apparence dissidente de Patricia Crittenden.

Différence 1 – Continuité vs. Discontinuité évolutive

Le modèle ABC + D part d’un postulat de continuité : la classification de l’enfant est censée se maintenir tout au long du développement, et même se transmettre « en bloc » de génération en génération, portée par un internal working model (modèle interne opérant) unique et durable.

Le DMM, lui, décrit le parcours comme dynamique : les stratégies peuvent se reconfigurer à chaque saut maturatif ou à chaque crise de vie, quitte à devenir l’exact opposé du pattern parental si cela sert mieux la survie et la protection pour le sujet.

Cliniquement, cela change tout : dans le DMM, évaluer l’attachement et mettre en évidence un pattern est un instantané développemental qui changera en fonction du contexte et de l’environnement, ce qui interdit toute dérive vers un “diagnostic d’attachement” figé.

Par ailleurs, une des limites qui est régulièrement reprochée à la théorie de l’attachement (modèle ABC+D) c’est une certaine forme de déterminisme. Le DMM n’a pas cette difficulté et offre au clinicien une fondation théorique pour faire émerger le changement en termes d’attachement qui est certes plus complexe, mais également beaucoup plus pertinente au regard de la vie des sujets très insécures.

Différence 2 – Catégories figées ou Dimensions continûment réparties

Dans le modèle ABC+D, la classification d’attachement à tous les âges est catégorielle pensée pour prédire en quelque sorte « quel type » d’attachement l’enfant que l’on a en face de soi possède et ce que cela implique, conduisant d’ailleurs à une utilisation restrictive de ses catégories comme étiquette diagnostique.

Crittenden opte pour une vision dimensionnelle des stratégies d’attachement, organisée un continuum de traitement de l’information (et non de comportement) cognition ↔ affect. La stratégie est graduée, hybridable. On peut avoir plusieurs stratégies identifiables et l’évaluation de l’attachement donne a lieu à un code qui explicite les processus de protection et d’adaptation identifiés et non une catégorisation avec label.

On parle d’« organisation » plus que de catégorie, d’où un code qui s’affine (A1-2 jusqu’à A8, C1-2 jusqu’à C8, A/C, etc.) pour épouser la complexité réelle.

Différence 3 – Le rôle de la peur

Dans le modèle ABC + D, la peur désorganise : l’enfant est paralysé entre l’appel et la fuite, ce qui justifie la catégorie « D » pour la désorganisation de l’attachement.

Le DMM, au contraire, voit la peur comme l’organisateur suprême et considère que si l’on se désorganisait, on ne survivrait pas ni en tant qu’individu, ni en tant qu’espèce : l’enfant réarrange cognitions et affects pour maximiser sa protection (faux sourire, inhibition, hyper-vigilance, etc.). Ces stratégies sont certes coûteuses, mais parfaitement adaptées au contexte dans lequel elles émergent et où elles permettent la survie. Par conséquent, pour le modèle ABC+D la question clinique est : “y a-t-il des comportements bizarres qui signent chez l’enfant, l’existence d’une relation au parent malade”, alors que dans le DMM la question clinique devient “quelle est la fonction adaptative de ce comportement dans cette relation ?”.

Différence 4 – Qu’entend-on par “sécurité” ?

Pour Main, la sécurité découle avant tout d’une sensibilité maternelle contingente : le bébé B sait que sa mère répondra de façon rapide et adéquate. L’explication est donc principalement comportementale, même si les évolutions plus récentes de la théorie de l’attachement, on mit l’accent sur l’importance des processus réflexif et de mentalisation chez le parent.

Crittenden ajoute une couche, ou de la profondeur théorique : la vraie sécurité, pour elle, suppose un traitement intégratif des informations cognitives et affectives sous stress, autrement dit la capacité à traiter et relier les deux flux d’information sans distorsion majeure. C’est, pour elle, ces processus internes qui promeuvent le mieux l’adaptation et la survie, et qui sont “codés” au cours des interactions précoces parent/bébé. La notion bascule ainsi de l’extérieur (qualité de la réponse maternelle) vers l’intérieur (qualité du traitement de l’information).

Différence 5 – Plasticité développementale

Dans le modèle ABC + D, la règle implicite est « ce qui se joue tôt, se rejoue tard » : la trajectoire est largement écrite dès les premières expériences.

Le DMM a une lecture beaucoup plus complexe et dynamique : les expériences de vie, sécures ou insécures, remodèlent en permanence le traitement de l’information. Le développement et l’apprentissage (de la vie) enrichissent les possibilités de protection de soi pour le meilleur et pour le pire. Ainsi, un changement d’environnement, une psychothérapie efficace ou la naissance d’un enfant peuvent /doivent modifier toute la stratégie d’attachement/adaptation. La clinique gagne ainsi en espoir – et en vigilance, car rien n’est figé. Il n’y a pas une bonne stratégie d’attachement, contrairement au modèle ABC+D qui valorise la sécurité de l’attachement. Pour le DMM, il y a la stratégie qui est adaptative et protectrice dans un contexte/relation en particulier. C’est la flexibilité d’adaptation qui est le marqueur de la sécurité.

Différence 6 – Modèle interne Opérant unique ou Représentations dispositionnelles multiples

Chez Main, chacun porte en lui un seul modèle interne d’attachement qui oriente ses attentes et comportements ; quand ce modèle vacille, on parle de « désorganisation » .

Le DMM propose au contraire un répertoire de DRs (dispositional representations), activables selon le contexte, comme autant de mini-cartes routières qu’on superpose pour naviguer. Cette pluralité normalise la variabilité, et rend compte des incohérences apparentes sans recourir à la catégorie désorganisée.

Ainsi, on peut porter des DRs de différentes natures à l’intérieur de soi (sécure, insécure…), dans certains contextes, certaines s’expriment, d’autres non (on parvient à les inhiber), parfois, elles rentrent en conflit, ou agissent sans contrôle conscient.

Différence 7 – Transmission intergénérationnelle

Le modèle ABC + D mise sur une continuité presque mécanique : la mère autonome → bébé B, la mère dismissing → bébé A, etc..

Le DMM rappelle que l’enfant n’est pas un clone affectif : il peut adopter l’inverse de la stratégie maternelle si cela augmente ses chances de protection.

Par exemple, une mère utilisant une stratégie de Type C dont le rejet des besoins du bébé est suffisamment prévisible, génèrera le développement d’une stratégie de Type A+ d’obéissance compulsive chez l’enfant qui aura pour fonction ne pas déclencher le rejet maternel, ou à ‘inverse, une maman utilisant aussi une stratégie de type C, qui ne rejette pas les besoins d’attachement de l’enfant, mais est inconsistante à y répondre parce qu’elle est trop préoccupée par des propres besoins d’attachement, le bébé peut alors avoir intérêt à développer une stratégie d’attachement de Type C “plus bruyante” que celle de sa maman pour parvenir à obtenir les meilleurs soins possibles.

On passe d’une logique de continuité transgénérationnelle à une logique d’ajustement fonctionnel et adaptatif de génération en génération.

Pourquoi j’ai choisi le DMM ?

Longtemps, la classification « désorganisée » du modèle ABC+D m’a laissée insatisfaite. Elle me semblait trop vaste et surtout inopérante pour comprendre et faire sens avec précision de ce qui se passe en termes d’attachement pour les populations vulnérables, traumatisées, car après tout, beaucoup de personnes avec des enfances assez terribles, ne se débrouillent finalement pas si mal dans la vie.

Comme comprendre cela si par ailleurs ce n’est pas la sécurité de l’attachement qui l’explique ?

Quand on travaille avec des enfants qui ont grandi dans l’adversité chronique, dans des environnements instables, parfois traumatiques, cette catégorie devenait un fourre-tout élégant en apparence, regroupant sous un même label des profils radicalement différents – figement, chaos, inhibition, panique, contrôle… n’apportait pas, pour moi, beaucoup de réponses.

Comment orienter une intervention thérapeutique pertinente si l’outil de lecture ne permet pas de distinguer ce qui, dans les comportements, relève d’une logique protectrice face au danger, d’une adaptation fonctionnel d’une manière ou d’une autre ou au contraire d’une mal adaptation.

Ce qui m’a frappée en découvrant le DMM, c’est bien entendu sa complexité – que certains lui reprochent – mais surtout sa précision clinique.

Là où le modèle classique s’arrête devant l’étrangeté, l’apparence inadéquation des comportements pour les qualifier de « désorganisés », le DMM propose une lecture fonctionnelle.

Il n’interprète pas la peur comme une force de fragmentation, mais comme un moteur d’organisation stratégique.

Il ne réduit pas la souffrance au chaos, il la traduit en processus de survie. C’est cette lecture fonctionnelle, maturationnelle et dynamique de l’attachement – en particulier dans les situations extrêmes – qui m’a permis de reconnecter ma pratique clinique à la théorie de l’attachement dans son essence, et de ne plus la réduire au vœu pieux de rendre tout le monde sécure.

J’ai aussi trouvé dans le DMM un écho à ma propre façon de fonctionner : une exigence de complexité éthique pour ne pas réduire le sujet à une étiquette diagnostique aussi bonne soit elle, un appui sur la recherche empirique, une posture non idéologique, mais très intégrative, un refus des raccourcis séduisants, une manière d’honorer l’intelligence adaptative des bébés et des enfants, de leurs parents même quand leurs stratégies sont coûteuses ou déroutantes.

Le DMM ne me fournit pas de réponses toutes faites, mais un cadre pour penser, affiner, ajuster.

Il m’oblige à garder l’esprit ouvert, à ne pas croire que je sais, à rester en relation avec la singularité de chaque histoire.

Et, comme formatrice, il me donne les moyens d’enseigner non pas des catégories à appliquer, mais une attitude clinique profondément mentalisante, enracinée dans l’observation, la réflexivité, et la compréhension du danger tel qu’il a été vécu par l’enfant, sa famille, ainsi que de faire constamment évoluer m’a pensé en fonction des nouvelles données issue de la recherche, me décaler d’une clinique du diagnostic pour entrer dans une clinique intégrative de la protection et de l’adaptation.

Texte publié le 10 juillet 2025 dans le cadre du projet A-T-L-A-S : un blog clinique pour explorer les liens qui façonnent l’humain.*

— Alexandra Deprez

Merci pour votre lecture

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Si vous avez une question, une réflexion ou une nuance à partager, n’hésitez pas à laisser un commentaire ou m’écrire : vos retours nourrissent mon travail.

Pour aller plus loin

Comprendre les divergences entre les modèles ABC+D et DMM, ce n’est pas seulement un exercice théorique : c’est un levier pour mieux penser la clinique, affiner nos outils, et éviter les simplifications qui risquent de figer les enfants dans des catégories qui ne rendent pas justice à leur trajectoire. Si vous travaillez auprès de familles confrontées à l’adversité, si vous formez des professionnels de la petite enfance, ou si vous cherchez simplement à approfondir votre lecture de la théorie de l’attachement, je vous invite à explorer ces modèles à la lumière de leur histoire, de leur ancrage épistémologique et de leurs implications pratiques.

Je continuerai dans les mois à venir à proposer sur le blog A-T-L-A-S des lectures critiques, des fiches-outils et des ressources pédagogiques autour de ces questions, pour vous aider à développer une pensée clinique autonome, rigoureuse et incarnée.

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Références scientifiques

Shah & Strathearn (2014). Similarities and differences between the ABC+ D model and the DMM classification systems for attachment: A practitioner’s guide. In The Routledge handbook of attachment: Theory (pp. 73-88). Routledge.

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